Imposer à un salarié des tâches contraires aux prescriptions du médecin du travail caractérise un harcèlement moral

Relations individuelles de travail
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A la suite d'un accident du travail, une salariée a été déclarée apte à reprendre son poste lors de la visite médicale de reprise, le médecin du travail précisant "durant trois mois, pas de port de manutention répétée, pas de port de charges lourdes, siège assis-debout impératif". A plusieurs reprises la salariée a été revue par le médecin du travail à l'occasion de rechutes ou de nouvel accident en relation avec l'accident initial, le praticien concluant à chaque fois à l'aptitude de la salariée à son poste de travail mais avec des restrictions toujours plus importantes. Après avoir refusé divers postes administratifs ou d'hôtesse, la salariée a été licenciée. Elle a saisi la juridiction prud'homale d'une demande de dommages-intérêts pour licenciement sans cause réelle et sérieuse et pour (...)

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