Les parts de société doivent être considérées comme des actifs mobiliers, intégrant la succession mobilière, même dans le cas de SCI.
Un ressortissant iranien est décédé en France, laissant sa femme et ses quatre enfants pour lui succéder. La succession se compose d'un ensemble de bines, mobiliers et immobiliers, situés en Iran, ainsi que les parts d'une société de droit suisse donnant droit à usage exclusif d'un appartement, de deux cas et d'un grenier à Genève. L'un des enfants demande la liquidation et le partage de la succession devant les tribunaux français. La cour d'appel de Chambéry, dans un arrêt du 4 mars 2008, a ordonné le rapport des parts de la SCI à la succession, rappelant qu'il s'agit d'actifs mobiliers soumis comme tels à la loi du dernier domicile du défunt, soit la loi (...)