EY dévoile son baromètre 2017 du capital risque

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ey-logo 9_14_15EY a publié les résultats pour 2017 de son baromètre du capital risque en France. L'étude révèle notamment que pour l'année passée, 2,563 milliards d’euros ont été levés dans l'Hexagone.

Le baromètre EY du capital risque en France pour l'année 2017 est disponible. Cette étude recense les opérations de financement en fonds propres des entreprises en phase de création ou durant leurs premières années d’existence, en date d’opération du 1er janvier au 30 juin 2017 et publiées avant le 4 janvier 2018.

Parmi les grands enseignements de cette nouvelle édition :

  • En 2017, 2,563 milliards d’euros ont été levés pour 605 opérations, avec un montant moyen de 4,03 millions d’euros.
  • La levée la plus importante est celle opérée par Actily avec 75 millions d’euros.
  • Le secteur le plus concerné est celui des services internet, avec un montant de 865 millions d’euros levés pour 215 opérations. Il concentre à lui seul 31 % des investissements en valeur.
  • Le secteur des logiciels se place en seconde position, avec 589 millions d’euros levés et 137 opérations.
  • Suivent ensuite les secteurs des Life Science, Fintech et des Technologies des montants de 848 millions d’euros cumulés.
  • En 2017, la région Ile-de-France a concentré 77 % des investissements. La région Auvergne-Rhône-Alpes arrive en seconde position avec 4 %, suivie par la région Provence Alpes Côte d’Azur (3,9 %).
  • Concernant le top 3 des investissements au sein de l’Union européenne en 2016, le Royaume-Uni occupe la première place avec 40 % du total des montants levés et 27 % du nombre total des opérations. Suivent la France puis l’Allemagne qui totalisent respectivement 18 % et 12 % des montants levés ainsi que 15 % et 11 % du nombre total des opérations.

« Les résultats du millésime 2017 du baromètre EY du capital risque sont très clairs : les startups françaises ont les moyens financiers de leurs ambitions. L’année dernière, elles ont levé près de 2,5 milliards d’euros, répartis entre le digital, pour les deux tiers, et les Life Sciences. C’est près de 400 millions d’euros de plus qu’en 2016. Mieux, rien n’indique que cette tendance devrait s’essouffler au cours des prochaines années. » commente Franck Sebag, Associé EY.

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