Le tribunal de commerce a donné gain de cause aux deux ex-associés d'un groupe, accusés de ne pas avoir respecté leurs engagements pris dans le protocole d'acquisition d'actions.
A la suite de divergences de vue de plus en plus marquées avec la direction du groupe L., deux dirigeants ont démissionné et ont vendu leurs actions au groupe. Ils étaient soumis à une clause de non-concurrence d'un an après leur départ du groupe.Un des dirigeants démissionnaire a créé la société unipersonnelle B., société qu'a rejoint l'autre dirigeant démissionnaire. Estimant qu'ils n'avaient pas respecté leurs engagements pris dans un protocole d'acquisition d'actions, le groupe les a assignés en justice. Par un jugement du 23 novembre 2018, le tribunal de commerce de Paris l'a débouté. Il considéré que le groupe n'avait (...)