L'instituteur, Georges Lopez, qui se trouvait au centre du documentaire "Etre et avoir", a été débouté le 27 septembre 2004 par le Tribunal de grande instance de Paris de sa demande d'indemnisation pour "contrefaçon" et "atteinte au droit à l'image". L'instituteur faisait notamment valoir que sa personnalité avait contribué au succès du documentaire. Il réclamait 250.000 euros à titre provisionnel au réalisateur et aux producteurs du film documentaire. Le tribunal a estimé que le film, réalisé par Nicolas Philibert, "ne reproduit pas des éléments du cours de M. Georges Lopez sur lesquels il pourrait revendiquer un droit d'auteur". Il a en outre considéré que l'instituteur ne pouvait être qualifié d'artiste interprète dès lors qu'il "n'a été filmé que dans l'exercice de son activité (...)