Vers l'introduction en France d'un "say on pay" à l'anglaise

Organisation, gestion et développement
Outils
TAILLE DU TEXTE

Dans un rapport déposé à l'Assemblée nationale le 20 février 2013 relatif à la gouvernance des grandes entreprises, Jean-Michel Clément et Philippe Houillon, députés, préconisent d'adopter un "say to pay".

Le rapport d'information relève que 15 des 27 Etats membres de l'Union européenne ont mis en place, ou sont sur le point de le faire, le "say to pay", c'est-à-dire le fait d'accorder aux actionnaires le pouvoir de se prononcer sur la rémunération des dirigeants. Néanmoins, les mécanismes adoptés dans ce cadre différent selon les pays. Anne Maréchal, associée chez DLA Piper, qui a procédé à une comparaison des divers régimes de say on pay, relève que l'"on sous-estime généralement la disparité de ce que recouvre l'expression". En effet, le vote des actionnaires ne concernent pas les mêmes (...)

L'article complet est réservé aux abonnés

Vous êtes abonné(e) à Veegee ? Identifiez-vous
Je m'identifie
Pour découvrir nos formules d'abonnement,
Je m'abonne