La transformation de l’organisation et de la gouvernance de la production du chiffre doit permettre aux banques d’être plus transparentes sur leurs risques et leurs résultats.
La production d’une information chiffrée est un exercice difficile du fait des exigences des normalisateurs et des régulateurs, mais également pour des raisons propre aux banques : morcellement, multiplicité des rôles qui y participent et manque de reconnaissance de l’activité. A l’origine, les comptables assuraient la production du chiffre qui était le plus souvent «rectifié» à la main en raison de systèmes peu automatisés et fiables. Puis les informaticiens sont intervenus. L’automatisation des processus et les bases de données, ont permis de fiabiliser la production des chiffres et s’est traduit par un enrichissement (...)