Contestation de l'avis d'inaptitude : l'employeur n'a pas à attendre le jugement pour licencier

Relations individuelles de travail
Outils
TAILLE DU TEXTE

La rupture du contrat de travail en raison de l'inaptitude du salarié régulièrement constatée par le médecin du travail n'est pas subordonnée à la décision préalable du conseil de prud'hommes sur le recours formé contre l'avis de ce médecin.

Un salarié, reconnu travailleur handicapé, a été engagé par une société, après avoir été préalablement déclaré apte au poste par un médecin du travail avec aménagement. Soumise à un statut national, la relation de travail prévoyait que l'embauche soit soumise à un stage. A l'issue d'un second examen médical, le médecin du travail a rendu un avis d'inaptitude précisant que l'état de santé du salarié fait obstacle à tout reclassement dans un emploi. Le salarié a saisi la juridiction prud'homale d'une contestation de l'avis médical. L'employeur a (...)

L'article complet est réservé aux abonnés

Vous êtes abonné(e) à Veegee ? Identifiez-vous
Je m'identifie
Pour découvrir nos formules d'abonnement,
Je m'abonne